
« 78,9 ou les mémoires d’un âne »
Jean Kergrist, revenu, rouge au nez, des tréteaux, scènes, manifs, festivals -d’Europe et d’ailleurs- en faisant rire de causes plus ou moins désespérées, s’attaque enfin à la seule grande cause qui vaille : la sienne. Pour alléger son prochain transit astral, il essaie de se délester d’archives trop lourdes à porter.
Dans ce « p’tit dernier pour la route », il tente aussi, en guise de bilan d’entreprise, de nous fourguer son enfance, ses entourloupes, ses bouquins, son spleen, ses bourdes. Pied de nez à la grande faucheuse. Kit de survie pour temps troublés. Faut-il en rire ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire